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Dans une armoire électrique, il découvre un paquet contenant un produit ressemblant à du cannabis. L’odeur qui s’en dégage s’y apparent. Il alerte son employeur qui prévient les gendarmes.
Trois paquets sont découverts dans les parties communes de trois niveaux de l’immeuble. Une est, quatre empreintes sont identifiées sur l’un des paquets. Deux sont celles du compagnon de l’une des occupants de l’immeuble. Il n’habite pas là, mais vient la voir régulièrement.
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Une demande de nullité de la procédure
Il était présenté en comparaison immédiate devant le tribunal correctionnel, mercredi 20 octobre. Son avocat, Maître Robin Binsard, a d’abord présenté une demande de nullité.
« La pesée de produits stupéfiants saisis doit être faite de manière contradictoire soit en présence du prévenu, soit en présence de deux témoins. Il ya un chagrin considérable pour les droits de la défense. Le prévenu doit avoir un recours avant la destruction. Sur l’a privé de ce recours. »
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Il a poursuivi en arguant que les saisies de cannabis ayant été détruites, la seule preuve, il fallait annuler le procès-verbal de pesée de stupéfiants et mettre fin à cette procédure.
La procureure précise qu’après avoir fait des tests, les enquêteurs ont confirmé qu’il s’agissait bien de cannabis. « Ce qui est soutenu sur le fond va trop loin. Vous ne pourrez pas annuler l’existence de ces produits stupéfiants », rétorque-t-elle à la défense.
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Un long casier
La présidente du tribunal a ensuite détaillée l’affaire ainsi que le long casier judiciaire du prévenu, impliqué notamment dans d’autres affaires de stupéfiants. Il est actuellement en détention provisoire dans l’attente d’un jugement pour un dossier criminel. Mais ces produits, jure-t-il, il n’y a pas de touche. Pour la procureure, ses antécédents ne font aucun doute de la culpabilité du prévenu.
« J’ai entendu le ministère public dire qu’il y a une très forte probabilité. Votre école doit être celle de la certitude et non celle de la probabilité. Les produits stupéfiants n’ont pas été suffisamment experts pour connaître leur taux de concentration en THC. Les produits de type CBD ne sont pas réprimés par le droit français. L’odeur, l’aspect visuel, le test Identa ne suffisent pas à caractériser qu’il s’agit de stupéfiants. Vous n’avez pas de vérité, vous avez une hypothèse », a plaidé l’avocat. Qui a convaincu le tribunal et relaxé le prévenu.
Cindy Roudier-Valaud
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Source traduite : http://www.bing.com/news/apiclick.aspx?ref=FexRss&aid=&tid=5A09365A2E8B470186C779B9997324F0&url=https%3A%2F%2Fwww.larep.fr%2Fmeung-sur-loire-45130%2Factualites%2Fcela-ressemblait-a-du-cannabis-mais-en-etait-ce-l-argument-fait-mouche-et-le-tribunal-d-orleans-relaxe-le-prevenu_14032647%2F&c=16796349964660652612&mkt=fr-fr
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